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Le Monde, Aden Il y a peau de
grandes villes en Europe ou la belle hongroise Zsuzsanna Varkonyi ne se soit pas
produite, dans un bar, dans une salle ou même dans la rue. Elle interprète ,
en s’accompagnant avec un petit accordéon, un vaste répertoire de chansons
qu’elle tien de sa mère ou de tziganes ambulants, ou qu’elle a récolté au
cours de ses voyages. Musicienne instinctive et perfectionniste, Zsuzsanna envoûte par sa présence et par le timbre de sa voix, mélancolique
dans le médium, pure et liquide dans l’aigu. Le Monde 1998, semaine de 13 au 19 mai
Soutenue par l’accordéon, la voix pure de Zsuzsanna
Varkonyi rend immédiatement vivante l’Europe centrale des tsiganes et des
rabbins. Les chansons que la
gracieuse Hongroise a apprises de sa mère ou des musiciens ambulants nous
semblent familières, sans qu’il soit besoin de comprendre le yiddish ou le
hongrois, grâce au timbre émouvant de Zsuzsanna. Ouest France, 1 avril 1998
Zsuzsanna Varkonyi est hongroise. Son enfance été bercée
des musiques tziganes. Captivée par ces « voyageurs épris de liberté »
elle se souvient des fêtes, des chants des tziganes lorsqu’elle décide de
parcourir l’Europe pour vivre dans
la rue de la musique. Une rude école où l’on est, partout, de nulle part. La musique tzigane devient son port. Pas pour le souvenir,
mais comme nécessaire retour vers l’essentiel avant de nouvelles expériences. « Je pars » chante-elle. Moi, j’aimerais bien
qu’elle revienne pour nous redonner un peu plus envie d’être
libres. Les Inrockuptibles 2001
Hongroise et musicienne de
rues, sans artifice, Zsuzsanna Varkonyi, chanteuse, accordéoniste et
rebelle, a connu les grandes villes d’Europe où elle a chanté
associant les mélodies tziganes aux airs yiddish. Elle présente son
nouveau CD « Ot Azoy » accompagné par Frédéric Norel
au violon.
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Copyright © 2005 Zsuzsanna Vàrkonyi |